Ce qui recouvre, ce qui protège, est fissuré, lézardé.
Le contenu s'écoule et laisse entrer l'indésirable.
un vide rempli
et pourtant.
dimanche 25 avril 2010
mardi 20 avril 2010
la passante d'à côté
Elle est farouche mais tendre du côté droit, se laisse amadouer pour mieux mordre au cou tendre, encore jeune et innocent.
j'ai grandi
Je suis grand,
j'ai franchi les étapes, passé les barrières, me suis écorché sur les rochers lorsque j'y marchais pieds nus. On a beau m'avoir averti des dangers, les cicatrices de ma témérité se sont fondues à ma peau et n'y paraissent plus.
J'y suis,
j'ai fais mes choix, me suis retrouvé devant des murs trop grands. j'ai bifurqué, vrillé, tourné, tombé.
maintenant. je suis moi.
j'ai franchi les étapes, passé les barrières, me suis écorché sur les rochers lorsque j'y marchais pieds nus. On a beau m'avoir averti des dangers, les cicatrices de ma témérité se sont fondues à ma peau et n'y paraissent plus.
J'y suis,
j'ai fais mes choix, me suis retrouvé devant des murs trop grands. j'ai bifurqué, vrillé, tourné, tombé.
maintenant. je suis moi.
lundi 19 avril 2010
C'est dans la boîte
Le design s'est jeté sur moi, du haut de la colline, et m'a proposé de continuer à rouler avec lui.
C'était la fin de semaine stressante : celle des tests préparatoires à l'UQÀM pour le programme de Design Graphique. C'était une nuit sans sommeil, parsemée de nouveau concepts et d'inquiétudes. Mes méninges crachaient une idée à la seconde, mon esprit les rejetait aussitôt (trop simple, trop commun, premier niveau).
9h15, l'heure fatidique.
10h45, l'heure finale.
deux semaines et je serai délivré (ou déçu). Dans tous les cas, il me reste le plan B : Barcelone. (c'est beau rêver)
C'était la fin de semaine stressante : celle des tests préparatoires à l'UQÀM pour le programme de Design Graphique. C'était une nuit sans sommeil, parsemée de nouveau concepts et d'inquiétudes. Mes méninges crachaient une idée à la seconde, mon esprit les rejetait aussitôt (trop simple, trop commun, premier niveau).
9h15, l'heure fatidique.
10h45, l'heure finale.
deux semaines et je serai délivré (ou déçu). Dans tous les cas, il me reste le plan B : Barcelone. (c'est beau rêver)
jeudi 15 avril 2010
La cours des grand ou comment être ailleurs, mais chez soi
C’est près d’une heure à l’avance que je me suis engouffré dans l’antre de la bête aucunement féroce d’Orange Tango. Arborant une ambiance de travail silencieusement agréable dans un décor loft-urbain, je fus toutefois soumis à un important « yeutage » lorsque mon doigt se posa sur la sonnette. On pourrait même appeler cela « être dévisagé ». Il faut dire qu’avec mon sac à laptop et mon sac de simili-voyage, j’avais l’air d’un fils perdu qui cherchait refuge chez la cousine de l’autre.
On parle de moi. Je suis trop à l’avance.
Malaises.
On m’appelle Sébastien, me propose du café, de l’eau, de l’électricité, mais je sens que je dérange. Le point : si je quitte cette salle à dîner digne des 7 nains version moderne, je m’expose aux travailleurs qui quitteront des yeux leur 20po pour se questionner sur mon départ qui est encore plus hâtif que mon arrivée.
Tentatives de socialiser : check.
Elle s’appelle Gabrielle et a fui le laitier, se réfugiant en mon repère (la cuisine vitrée), ce qui a entraîné un « si tu veux te plugger, y’en a une dans le coin là-bas » ainsi que quelques questions à propos de projets.
J’ai peur d’avoir l’air du gars-qui-pousse-trop-sa-luck. J’aurais peut-être dû quitter, même pas entrer, attendre le groupe qui arrivera dans, quoi, encore 20 minutes maintenant ?
Je travaille sur des projets, me sent jugé et les cache dès qu’on m’approche. Je n’ose même pas sortir une bribe de mon portfolio : rien n’est plus critique qu’un graphiste. Et LÀ, j’aurais l’air de ce que je ne suis pas / ne veux pas être.
Les employés ont l’air heureux et des ondes musicales (radiohead?) me parviennent parmi les bourdonnements de conversations. Lieu bien situé, bien éclairé, beau projets (culturels).
VERDICT : My bad. Merci à Gabrielle d’avoir fait en sorte que je ne me sente pas trop mal. J’veux y travailler
On parle de moi. Je suis trop à l’avance.
Malaises.
On m’appelle Sébastien, me propose du café, de l’eau, de l’électricité, mais je sens que je dérange. Le point : si je quitte cette salle à dîner digne des 7 nains version moderne, je m’expose aux travailleurs qui quitteront des yeux leur 20po pour se questionner sur mon départ qui est encore plus hâtif que mon arrivée.
Tentatives de socialiser : check.
Elle s’appelle Gabrielle et a fui le laitier, se réfugiant en mon repère (la cuisine vitrée), ce qui a entraîné un « si tu veux te plugger, y’en a une dans le coin là-bas » ainsi que quelques questions à propos de projets.
J’ai peur d’avoir l’air du gars-qui-pousse-trop-sa-luck. J’aurais peut-être dû quitter, même pas entrer, attendre le groupe qui arrivera dans, quoi, encore 20 minutes maintenant ?
Je travaille sur des projets, me sent jugé et les cache dès qu’on m’approche. Je n’ose même pas sortir une bribe de mon portfolio : rien n’est plus critique qu’un graphiste. Et LÀ, j’aurais l’air de ce que je ne suis pas / ne veux pas être.
Les employés ont l’air heureux et des ondes musicales (radiohead?) me parviennent parmi les bourdonnements de conversations. Lieu bien situé, bien éclairé, beau projets (culturels).
VERDICT : My bad. Merci à Gabrielle d’avoir fait en sorte que je ne me sente pas trop mal. J’veux y travailler
vendredi 9 avril 2010
Graphisme
Opportunités
C'est tout qui est en même temps,
c'est une vie scolaire
mais aussi la fin d'un étape
le début d'une autre
et voilà que s'ouvre doucement la porte
je me croise les doigts
c'est une vie scolaire
mais aussi la fin d'un étape
le début d'une autre
et voilà que s'ouvre doucement la porte
je me croise les doigts
samedi 3 avril 2010
Je suis en retard
La paresse s'est emparée de moi. À mesure où le portfolio avançait, à mesure que le stress diminuait. C'est comme si tout mon poids qui me forçait à travailler s'est volatilisé, avec mon assiduité.
J'ai les sujets en tête, j'ai justement le meilleur des articles en tête. Mais je me questionne encore.
Dois-je réellement retourner et retourner encore les sujets recyclés ? Oui. Chaque point de vue est différent bien que similaire et mérite d'être pixelisé.
ark.
J'ai les sujets en tête, j'ai justement le meilleur des articles en tête. Mais je me questionne encore.
Dois-je réellement retourner et retourner encore les sujets recyclés ? Oui. Chaque point de vue est différent bien que similaire et mérite d'être pixelisé.
ark.
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