mardi 30 mars 2010

J'ai trop à dire

Je suis enrhumé, sinus gonflés à bloc (encore), amygdales en expansion.

j'ai les sujets
j'ai les mots
j'ai juste pas envie

je pondrai bien vite et d'un seul coup tous ces blancs

sous peu

dimanche 21 mars 2010

21022010

210.220.10
2221100
322120
8
r90

les chiffres parlent d'eux-même
1/ 8•r90

Dans l'gorgoton

110 calories
1g de lipides
105mg de sodium
12g de sucre
0,61mg de thiamine
4.4mg de fer

pour 3/4 de tasse

EXTASE

mercredi 17 mars 2010

#addicted @achatenligne

j'fais passer mes désirs avant mes devoirs

#badbehaviour

Concept

Bienvenue dans l’arène du client-roi, où tous vos souhaits sont exaucés à condition de bien vouloir se plier.

Je n’avais jamais réalisé à quel point le monde professionnel était une jungle touffue où ses animaux féroces se battaient tous pour le même morceau de viande. C’est assis à l’ombre, entre deux fenêtres, un mur bleu et l’autre blanc, que cette pensée me vient : « J’vais travailler dans la faune. »

Je vais devoir plancher, penser, trouver, chercher d’abord, esquisser, conceptualiser, réaliser, couper, coller, appeler, engueuler, stresser, et même – sûrement – en pleurer. Je serai machine-à-créer servant les sages maîtres d’en haut.

Et c’est pas l’pop qui va m’en sauver.

J’anticipe ce temps. Peut-être est-ce ma raison d’exil universitaire. Peut-être est-ce ma manière d’attendre pour devenir un fauve accompli. Mon jour viendra et je serai couronné. Pour le moment, je suis encore materné. Un genre de poupon envieux des oiseaux sachant déjà voler.

J’ajoute les espaces en espérant toutefois qu’ils soient faciles à enjamber. C’est drôle de penser que l’humain, par moments, est incohérent. Il va à gauche quand le but est à droite, regarde en l’air alors que le réel danger se trouve à ses pieds et dévie les regards pour éviter les malaises.

Le pire dans tout ça : j’ai la capacité de le faire. J’ai besoin du coup de pied (pas en tout temps par contre).

N’advienne que pourra, c’est ça le dicton ?

Enfantillages

Quelle est l’une des notions primaires que nos parents nous enseignent à notre plus jeune âge ? Toujours dire la vérité.

Je ne relancerai pas le débat sur quand doit-on la dire ou pas, mais je tiens à partager mon point de vue sur certains événements. Ou plutôt, je cherche à étaler mes questions pour ceux et celles qui souhaitent y répondre, ou encore qui s’en posent également.

Les rumeurs, les commérages, les impressions. Trois choses qui, selon moi, sont bien distinctes, mais qui, dans les oreilles de l’un ou de l’autre, peut sonner faux, engendrant malentendus, disputes et incompréhensions des plus totales.

Rumeur : nouvelle qui se répand

Commérage : bavardage médisant

Impression : sentiment envers quelqu'un, né après un premier contact

Donc, une impression n’est fondée que sur son propre jugement et n’est pas vérité crue, pure et dure. Le commérage tend à répandre une nouvelle fausse et mesquine dans le but d’atteindre autrui et les rumeurs sont des faits non fondés répandus, le plus souvent de bouche à oreille.

Cependant, est-ce que témoigner de son impression à un lot de personnes devient automatiquement rumeur ? Ambigüité.

Alors, pour se protéger de tout et de tout le monde, on devrait commencer chaque conversation témoignant d’une opinion avec un « Selon moi et seulement moi… » ? Y a-t-il seulement une manière de se protéger contre les oreilles/langues de vipère ?

Je crois qu’il faut apprendre, comme dans un billet précédent, à analyser, peser, comprendre et ensuite argumenter. De bien sages paroles difficiles à adapter à toutes situations.

Enfantillages d’enfants trop grands

Cratère

C’est parce qu’on est tout simplement vivant que les cratères ne cessent de nous pourrir la vie. Les mots sont quelque peu forts et pourraient appartenir à la bouche d’une adolescente en pleine crise, mais les images fortes sont mes préférées.

C’est un trou béant, causé par un météorite venu de nulle part, sans prévenir. Un jour, il percute, soudainement, remuant les alentours : ondes de chocs à prendre avec un grain de sel. Ils laissent derrière eux des dommages momentanés, rien que la nature ne peut arranger, rien pour que l’Homme cesse d’exister. Reste qu’il se peut que ce soit une fin du monde matinale.

Suite au cratère : l’enflure. Le mal suit, l’envie d’arracher n’est pas très loin. L’humiliation, la honte pour certains.

Ils essaient de les empêcher, les diminuer, les restreindre par divers moyens. On se râpe, d’assèche, se martyrise soi-même pour un brin de commun.

On y passe tous

Ils s’en vont tous,
pour mieux revenir, parfois.

lundi 15 mars 2010

« j'pas un cave »

aujourd'hui, j'avais presque rien à faire, mais j'me sentais quand même productif. J'étais « mindé » à tout faire, et j,ai tout fait! C'est ça la joke.

Mon corps est étrange et réagit différemment de jour en jour. Up, down, UP, down (niveau productif, bien entendu). Aujourd'hui, j'avais le soleil, j'avais les passages piétons qui se déclenchaient à mon arrivée. Un peu plus et les oiseaux chantaient, les passants dansaient avec moi sur la musique qui sortait de nulle part.

j'étais dans high school musical remixé avec blanche neige

et là, après cette caude journée, j'suis dans mon salon froid, sarouls et v-neck, dans un sleeping bag pou rme réchauffer et j'écoute la télé pré-mâchée. Et me voilà tout excité devant «La vie simplifiée»

FLASH
c'est plate comme blogposte. J'm'excuse...

Pour remédier à la situation, je souligne le fait suivant : les gens qui rient / sourient, nous permettant ainsi de voir leurs dents inférieures, c'est étrange. C'est peu commun.

Deuxième fait agréable à savoir : mes colocs viennent de prendre leur douche, m'empêchant ainsi ce droit légitime pour cause de manque d'eau chaude. Alternative possible : attendre 2heures AM et mourir demain.

Troisième fait : les annonces de régions, c'est nul.

Espérant avoir renchérit cette annonce ?

dimanche 14 mars 2010

J'étais en retard

Résolution : un post par jour.

Voilà, j'me rattrape.

J'ajoute un brin musical à ce blogue sentimental presque comique. J'ai découvert il y a peu de temps une chanteuse étiquetée UK. Un mélange de Bjork et de je-sais-pas-trop-qui, mais reste que j'me suis mis à la redonner un peu trop souvent.

mesdames et messieurs, voici Emiliana Torrini et Jungle Drums.

enjoy

jour de Gris

Mère nature me punit peut-être d'être péjoratif ces temps-ci. J'ai une journée de congé et il fait gris comme un chat la nuit. Hier, c'était le soleil, le beau temps et j'ai rien vu passer. J'étais l'esclave du tempo « centre-d'achat » et tentait de vendre, de capturer de beaux moments en famille qui n'est pas la mienne.

Par moments, je les envie.

J'suis habillé «décâliss» et j'ai envie de l'être. J'ai avancé l'heure et fait la vaisselle. Sûrement les seuls actes actifs de ma journée mis à part manger de temps en temps. Pourquoi, quand on fait rien, on a toujours envie de s'empifrer? On veut punir les paresseux j'imagine, quelque chose comme «aide-toi et le ciel t'aidera» sorti de la bible encore.

J'écoute les mélodies achetées sur itunes qui se ressemblent toute sans être du même artiste. Un beat molo et une ambiance de fin de soirée (putain il n'est que 14:28:07, précis en plus). Je suis dans le salon et j'observe, je pense sans trop réfléchir. Trop réfléchir, ca rend fou. C'est probablement ce qui est arrivé à André Sauvé...

J'ai pourtant pas l'impression de m'ennuyer. J'ai en tête tout ce qu'il faudrait faire, mais préfère la torpeur et l'engourdissement de mes jambes plutôt que de bouger et réchauffer mon pauvre corps trop endormi pour la période de la journée.

Je pourrais partir en peur et évaluer tout ce que j'ai à faire pour cette semaine, tout ce que j'aurai à payer l'année prochaine. J'pourrais aussi me frustrer contre Twitter que j'apprécie un peu trop pour l'haïr. J'pourrais trouver quelque chose à classer, juste pour procrastiner un peu. J'pourais laver la salle de bain qui en vaut vraiment pas la peine pour ce qu'elle a l'air... j'pourrais éplucher du plafond la peinture qui écaille (my god c'est tentant).

Mais j'fais rien.

Aujourd'hui, j'suis lâche.

Jour de pluie

samedi 13 mars 2010

P M S

«J’ai cru ne jamais te revoir»


C’est samedi soir et je suis encore plus enragé qu’à l’habitude. J’suis fatigué, j’ai envie de dormir et j’suis pas parlable. C’est pas que j’le veuille, j’suis comme ça, ce soir.

Les hommes ont leur semaine également. Ils ont leurs « boutons » par mois. C’est certainement prouvé scientifiquement. Ils ont leurs moments de faiblesse et pleurent devant un film de Disney. Ils ont des sautes d’humeur, veulent tout faire, ont des goûts de femme enceinte et ne veulent surtout pas dormir seul.

Une fois par mois.

«Je t’aime»

vendredi 12 mars 2010

Échec

J'ai reçu aujourd'hui mon premier échec par poste. Un des plus important : l'admission à l'Université.
J'en ai pas long à dire, si ce n'est que c'est dommage de ne pas être accepté dans un domaine connexe à celui où l'on a étudié. Par chance, mon premier choix est stagnant. J'attends encore.

Go Portfolio Go

17-18 avril sera la date de tombée

Guillotine ?

mercredi 10 mars 2010

into it

Je suis l’incruste au milieu des universitaires. J’explore les lieux qui me seront bientôt trop connus. Quelques mois seulement et je serai des leurs, je serai dans la nouvelle cours des grands, la cours supérieure. Écouteur à l’oreille, soleil plombant, les conversations et les inquiétudes se succèdent. Je suis seul et j’attends. Une attente qui est de plus en plus récurrent dan mon monde. Ce sujet latent qui ne cesse d’occuper mes textes, mon esprit.

J’ai chaud, j’suis pas à l’aise et j’ai pas internet. J’ai planché sur mon portfolio, mes projets à réimprimer, et maintenant je ne sais plus où donner de la tête. Je ne souhaiterais que croiser un visage familier afin de converser, passer le temps, passer mon heure et demie.

Les talons qui claquent, les murs bruns, l’air étrange et les particules de poussières qui flottent dans l’air par cette journée ravissante de printemps précoce. Je devrais être à l’extérieur et jouir de cette température alarmante, mais j’ai la crainte d’explorer. Et pourtant, je devrais…

Je ne suis pas assez curieux, je crois. En tant que « designer junior », je devrais être à l’affût des enjeux sociaux, des nouveautés et des faits divers de l’actualité. Je devrais m’informer sur les gourous du Design, les « big shot » de mon époque. Je commence à le réaliser. Je commence à penser à peut-être le faire.

Qu’est-ce qui m’en empêche ? Sincèrement, je ne le sais trop. La paresse ? Peut-être, peut-être pas non plus. J’ai toujours été le genre de « travailleur » acharné qui se donne à fond dans le travail, les études et ne cesse de vouloir performer.

À force d’avancer en ligne droite, mes visières se sont rapprochées. Comme le cheval du Vieux-Montréal qui fait faire des tours de calèche aux touristes. J’suis mené par les consignes scolaires faut croire.

Bienvenue, nouveau moi.

lundi 8 mars 2010

Ancré

Ça m'est rentré dedans sans trop m'en rendre compte, un poignée de poivre qui brûle encore plus que le sel sur une plaie ouverte. Un poing dans la poitrine qui maintient son étreinte pour sentir mon pouls à la source.

J'en redemande

Pas d'échappatoire, seulement une prise qui tire à l'hameçon et ne décroche pas. Ne décroche pas. Reste. Malgré l'aspect déchirant des propos, je n'en suis pas moins plus heureux, accompli, comblé.

J'suis assis seul dans le fauteuil qui cale, celui qui est toujours plus confortable à deux.

Je sais maintenant pourquoi on l'appelle la moitié.

J'ai la Lumière, et j'ai Le Plus Grand

dimanche 7 mars 2010

Ce soir

Je pleure du succès des autres et du refus potentiel

Diluvienne

Mon flux d'inspiration est à la baisse (mauvais timing)
J'ai perdu la main, le tour, la «twist».
Mon vocabulaire s'échappe et ruisselle sur le pavé, piétiné par âmes pressées et faune urbaine.

La période où l'envie est prédominante, où les obligations voudraient effectuer une sortie de route ou encore rouler à contre-sens, prendre le champs. Juste pour une semaine encore, une parcelle de temps allouée au plaisir et la paresse. Une pause momentanée où les moyens ne seraient que passé, où tout, même l'impossible, serait possible.

C'est pourtant simple.
Et impossible.

Je ne raconte pas de grands idéaux politiques.
Je ne commente pas sur les collections abracadabrantes.
Je ne réinvente pas la roue.
Pourquoi insister alors ?

Comme elle le dirait :« Je le fais pour moi »

36 - 24 -36

J'ai un sky-blog, j'ai myspace. Facebook, twitter et un autre blog. J'ai multiplié les adresses e-mail de caramail à gmail, et pourtant, je ne me sens pas plus accompli. Avant, il y avait le nintendo, ensuite les Sims, et, finalement, voici les applications, les miniclips. Comment perdre mon temps et me provoquer des frustrations.

En quoi les émotions viennent-elles à se mêler aux pixels ?

Merci de rendre public ce qui aurait pu et sûrement dû être personnel
Merci, réseaux sociaux.

samedi 6 mars 2010

Let it fall

Être impartial, c'est toujours ce qu'on m'a dit d'être. D'analyser, de comprendre, de récolter les faits, décortiquer les versions. On m'a fortement conseillé d'être un CSI de façon personnelle pour pouvoir faire et réagir décemment.

L'impulsivité est une réaction normale de l'être humain, agir spontanément, sur le moment, sans réfléchir. Je comprends les écarts de conduite et suis même capable de les reconnaître. Hors, lorsqu'on outrepasse les limites, les excuses sont de mise.

Mea Culpa
J'ai fait des erreurs dans ma vie. Comme tous. Je les reconnais.
Cependant, mes derniers écarts de conduite ne sont que justifiés.
Les langues de vipères ne peuvent que se garder leurs drames à gogo.

Les conseils du jour :
1- Vérifier si le jeu en vaut la chandelle
2- Prendre du recul
3- Recueillir les faits
4- Prendre du recul (question d'être certain de sa shot, tsé)
5- Établir son opinion en laissant de côté son favoritisme

Merci, maintenant, de bien vouloir me laisser vivre ma vie.

*PS
Je trouve le tout dommage. Le talent démontré n'est pas à la hauteur du personnage

J'avais une idée

J'étais dans la douche en train de chanter des refrains pop (comme d'habitude) au grand désespoir de ma coloc quand j'ai eu un flash, subitement. Tout d'un coup, trois noms d'articles sensés me sont apparus, et l'idée de les écrire s'est emparée de moi. Comme vous vous en doutez, je n'ai pu que les oublier en ne les notant pas.

Cette sensation de les avoir sur le bout de la langue, de ne pouvoir récupérer cette bribe de mémoire.

frustrant

mardi 2 mars 2010

Consommation

22 :39 :50
je suis seul dans un café presque inconnu près de tout qui m’est quand même inconnu. J’entends la musique lounge, les gens discuter et mes doigts tapper comme un fou sur le clavier trop usé. Les touches collent et les cafés se succèdent. Malheureusement pour moi, je ne suis pas un habitué de cette drogue caféine.

Mon speed à moi, j’en prend pas trop trop souvent. Ca jaunis les dents, rend le monde agressif et ne me permet pas de performer à cause de la dépendance. J’en prend pour me réchauffer, j’en prend pour qu le temps passe.

Ca fait 3.

Depuis 22 :00

Tout se bouscule et mon cœur bat à tout rompre. Saleté d’idée aussi de devoir tout boire d’un seul coup dès qu’on me met quelque chose entre les mains. Même chose avec l’alcool, sauf que là, j’dormirai pas. Simple prétexte pour pouvoir rester dans ce café.

D’ailleurs, c’est quoi les règles ? On peut rester combien de temps dans un café non achalandé pour consommer seulement de l’espace ? J’me sens obligé de commander, même si j’suis en train d’exploser et que mes pupilles dilatées voient trop grand pour rien.

J’débute un projet, passe à un autre, parle à des inconnus, socialise avec le wab, ouvre 82 onglets et trouve ca quand même intéressant d’écouter une chansons française acoustique.

Plus jamais.

(pardonnez les fautes, je ne suis qu'impatient)

lundi 1 mars 2010

Je Joue

Je suis de retour aux sources comme on dit. Entouré de champs, d’écoles secondaires et de petites rues aucunement passantes. Je suis « chez moi ». C’est mon tableau, mes couleurs, mais les personnages de ma scène ont été remplacés. Ils ont grandi. C’est le cours des choses, c’est la vie. Bienvenue en banlieue, ce 450 et ses maisons semblables, ses voisins qui connaissent tout du téléjournal 17h et du journal de Montréal.

C’est le renfermé, c’est l’humidité, c’est l’odeur de cigarette qui rôde. C’est les maux de tête et l’ennui qui s’incrustent et colle aux murs défraîchis. Une monotonie.

La crainte s’empare et les inquiétudes d’avenir recommencent à trotter, tourner en rond dans ce bocal qui aimerait n’être que d’eau salée où il fait bon flotter. Je vois un appartement, des perspectives d’avenir et du bois franc foncé. Je vois de la brique, du IKEA nouveau genre, des toiles et un mur complet de photos encadrées. Mais les cartes s’embrouillent et l’écran plat disparaît…

Il y a les avantages. Mais la paresse l’emporte et les minutes s’additionnent. Savoir choisir entre le portefeuille et la logique. Peux-t-on se priver pour la proximité ?

Peu importe. J’vais écouter les parents avec mon mal de tête, mes sinus bouchés et la télé qui griche.

JE NE SAIS QUE CROIRE

C’est à vox, un lundi soir, que Michelle Blanc me parle de pornographie… Industrie innovatrice qui serait à l’origine du VHS, des DVDS, de TWITTER et des industries pharmaceutiques. Il (elle?) nous recommande d’en consommer régulièrement pour notre apprentissage.

Donc, lorsqu’on consulte de la porn, ce n’est que recherche et développements.

On m’a toujours enseigné que l’image projetée par la pornographie n’était que futilité et mensonge, visant à dénaturer l’amour et le respect mutuel. On m’a bombardé de monologues féministes revendiquant le droit des femmes et le machisme des hommes trop musclés sans protection. Et maintenant, du haut de mes 20 ans, on me suggère d’y aller pour apprendre.

Je ne dis pas qu’il n’y a que du mauvais, je ne dis pas qu’il n’y a que du bon, mais comprenez que ces propos me laissent perplexe.