« Travailler c’est pour les pauvres »
Pauvreté oblige, je passe nuit et jour à penser, élaborer. Va s’en dire que je suis épuisé. Je marche, je cours, je travaille, je pense, j’élabore, je rectifie, rectifie, encore un changement, encore une niaiserie.
J’aspire au beau. J’aspire au nouveau. J’aspire à l’artifice.
Feux de joie dans le ciel noir du monde des affaires, étincelle d’espoir et moment éphémère. Laisse-moi admirer, me vêtir de tes couleurs.
dimanche 25 juillet 2010
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